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vendredi 11 mars 2011

Cinéma : "Faubourg 36"

             Parce que je suis étudiante de film, je regarde plusieurs films et quelques-uns sont français. Comme au début j’ai regardé beaucoup de films dramatiques et tristes, je pensais que tous les films français étaient comme ça. Mais l’été dernier, j’ai vu la comédie musicale, « Faubourg 36, » (de Christopher Barratier,2008) et mon opinion a changé. 
            Dans « Faubourg 36 » le metteur en scène joue sur le contraste entre le bruit et le silence. Je crois que le thème du film est, pour arriver au bonheur, il faut se faire entendre. Tout au long du film, les personnages jouent avec leurs voix et comment ils peuvent être entendus.  
            Dans ce film, il s’agit de gens qui habitent dans le faubourg de Paris. Le protagoniste est Pigoil, un homme pauvre. Parce que Pigoil n’a pas d’argent, le gouvernement lui enlève son fils. Pour gagner de l’argent, Pigoil et ses amis créent un spectacle au théâtre Chansonia. Mais au début du film, on trouve que Pigoil, l’homme gentil est accusé d’un assassinat. Le reste du film explique pourquoi. 
Tout le film se déroule au début de la deuxième guerre mondiale et puis il y a une dimension politique et historique aussi. Mais le sérieux du film est équilibré par la musique. 
             Il y a beaucoup de chansons dans ce film (quelques unes dans le spectacle et quelques unes dans la vie ordinaire des gens) qui influencent le ton de la scène ou la perception des personnages. Souvent, les chansons  reflètent l’environnement de la banlieue, mais d’une manière capricieuse. Mes chansons préférées étaient « Le Môme Jojo » et « Loin de Paname, » qui parle de l’amour pour la ville de Paris—et cet amour pour Paris parle finalement de nationalisme (dans la condition de la guerre) et du fait  que si les gens restent ensemble et utilisent leur voix, Paris et la France gagneront.



Ecrit par Stacie Taniguchi. 
             

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